Auteur-metteur en scène: Daniel Mayar Directeur d’acteurs: Frédéric Maillard

(Bonjour,
J’espère que vous ne vous êtes pas trompés.
Pour lire ces deux pages, il faut commencer par “Coup de théâtre”, ainsi vous lirez le texte dans l’ordre chronologique.
Donc, si vous vous êtes trompés, il est temps de faire marche arrière.
A tout’).

Vous êtes toujours là?
Bien, c’est sympa. J’espère que vous avez aimé les photos, en tout cas il me semble qu’elles reflètent bien l’ambiance des répétitions.
J’espère qu’il en sera de même pour toutes les personnes qui se sont embarquées dans le même bateau que nous, au nom évocateur “Coup de théâtre!”.

Revenons en arrière.
Le 5 mai 2007, nous mettons pour la première fois, les pieds sur ce navire, à l’époque, juste un petit radeau, qui cherchait son équipage, pour l’entraîner dans sa folle aventure.
Celui-ci s’est formé, défait, reconstruit avec d’autres éléments, au fil des réunions et des répétitions.

Nous avons commencé à découvrir nos rôles en lisant autour d’une grande table, à la Salle d’Armes, mise à notre disposition pour la circonstance.
Un peu timides, hésitants, ne nous connaissant pas, ou peu.
Daniel et Frédéric nous ont expliqué pourquoi nous étions là, ainsi que, en gros, le sujet de la pièce, comme je le disais dans la page précédente.

Résumé:
“Des choses étranges se passent à Pont-audemer. Des personnages, super héros ou personnages ayant existé, mais revenus sous des apparences bizarres, des apparitions, des disparitions, des petits cochons, des reines, etc… etc…
Tous se retrouvent au théâtre de l’Éclat pour résoudre cette énigme”.

Après quelques séances de lecture dans cette salle, nous sommes allés dans une autre, plus grande celle là, avec un très grand miroir le long d’un mur.
Je suppose que les cours de danse viennent y répéter.
Les cours de gymnastique aussi.

Donc, nous avons commencé à répéter en… mouvements, debout, en essayant de dire notre texte en bougeant naturellement.
Le voilà bien le mot “naturellement” !!!
Fastoche!
Quand vous n’avez jamais joué la comédie, ou si loin derrière vous que le seul texte qui vous reste c’est “CHA-A-ARLES!!!”, sur un ton excédé, c’est pas évident.

Les enfants nous ont épatés.
Même si tout ne s’est pas fait trop facilement, ça remue beaucoup les enfants… on avait oublié, c’est quand même eux qui tiennent le pompon du naturel.
Pas de tabou pour eux, pas de peur du ridicule. Ils jouent, c’est le mot, dans tous les sens du terme, et ils sont vrais, sans se forcer.
Chapeau les petits!

Pour les grands, certains n’avaient pas de problème avec leur texte, alors ça marchait comme sur des roulettes.
Pour d’autres… enfin, je veux dire pour moi…
C’était une autre paire de manche, comme on dit chez Coco C.
Quand j’ai commencé à répéter, le fait de ne pas savoir mon texte et d’être obligée de plonger mon nez dans la “Conduite” (c’est ainsi que l’on nomme le manuscrit de la pièce), me désespérais.
Je me disais que je n’y arriverais jamais, que j’étais nulle et que je le resterais.
J’avais peur aussi de faire capoter la pièce par mon manque, et de talent et de mémoire.

Frédéric et Daniel avaient beau essayer de me réconforter, de me rendre confiance en moi, “bernic”, ça tombait à plat.
Ce qui m’a le plus déroutée, un énième jour où je bagarrais pour sortir mon texte, c’est quand Frédéric m’a dit” Mais ne cherche pas à apprendre ton texte par cœur, oublie le”.
Ouaaaah!… Bien… Oublier mon texte… Mais je n’avais aucune difficulté à l’oublier… puisque je ne parvenais même pas à le mémoriser!
Bizarre le théâtre, où l’on vous donne un texte, que vous devez vous empresser d’oublier.

En tout cas, bonne ou mauvaise élève, je ne sais pas, mais j’ai fais le maximum, quand même, pour le connaître et l’apprivoiser, ce texte.
Et je dois dire, que, malgré quelques trous de mémoire de temps en temps, je me suis trouvée beaucoup plus à l’aise quand j’ai été capable de le dire, dans sa quasi intégralité.

Madame Mac Miche est née à l’Éclat, pendant les répétitions sur scène.
Avant je ne la cernais pas, c’était une inconnue pour moi.

Une autre naissance a eu lieu, mais avant d’aller répéter au théâtre.
C’est Dracula!
La maman de Bérénice (Hélène de Troie et Marie Tudor), qui apportait toujours des boissons et des friandises, et qui mourait d’envie de jouer.
Mais Bérénice n’était pas très enthousiaste.
Un jour, où il manquait quelqu’un pour un rôle, Séverine l’a remplacée.
Et elle a été tellement drôle, et vraie, qu’il est devenu évident qu’elle devait faire partie du spectacle.
Elle est donc devenue Dracula, et s’en ai donné à cœur joie.
Elle s’est même mise à faire des abdominaux pour pouvoir se coucher dans son cercueil, droite comme un i !
Elle a incorporé un côté fantastique à la pièce, ce qui nous a tous mis en joie.
Même Bérénice était contente et fière de sa maman.

Pas facile de parler de tout le monde.
Mireille d’abord, Duguesclin-Canel.
Notre Mireille, pendant toutes les répétitions au théâtre, souffrait d’une violente crise de rhumatisme.
Malgrè ça, elle est venue, a répété comme tout le monde, a supporté son armure, lourde, et aussi difficile à enlever qu’à mettre, comme un vaillant petit soldat.
Mireille donne des cours de théâtre à des enfants et des adultes, à la Villa, elle participe aussi aux visites nocturnes de Pont-Audemer en été.
Elle y interprète, entre autres, avec, sa sœur Marie, une autre femme, et le chanteur Pascal Costil, un numéro de trois petites vieilles sur un banc… à crouler de rire.
Nous avons vu deux fois ce numéro, mais je m’inscrit d’office pour la prochaine représentation.

Les esprits mutins, Séverine et Eugènie, ont pratiquement tout de suite été dans leur rôle, sans problème.

Moussa-Jean Paul Sartre, a eu d’emblée l’idée de prendre l’accent africain.
Son père étant Malien cela ne lui pas été trop difficile.
Mais cette idée a été géniale!!!
Il fallait l’entendre… “ Je suis sujet à des malaises, disons.. existentiels. Ça me donne la nausée, là, prrrésentement”.
La salle était écroulée de rire.
En Pinocchio et Zorro pas mal non plus, Moussa.

Madame Arthur!!!
Ah! Madame Arthur!, une voix magnifique, une présence étonnante et des robes et des chapeaux… à couper le souffle!
Et avec tout ça, une gentillesse, bref une femme adorable.
Jean Philbert, son mari, qui est venu interpréter une chanson, et elle, se produisent dans différents spectacles, ensemble.

Philippe était l’Ange qui passe.
Si mes souvenirs sont bons, il ne me semble pas qu’il ait existé dès le début.
Je crois que c’est Philippe qui en a parlé le premier et que ça a plu à Daniel et à Frédéric.
Si je me trompe, pardon à tous deux, mais vous pouvez rectifier, vous avez la possibilité de mettre des commentaires.

(Je constate d’ailleurs, la frilosité de mes visiteurs. Pas de commentaires, bons ou mauvais.
Evidemment je préfèrerais qu’ils soient bons, mais comme on ne peut pas plaire à tout le monde, et qu’il est bon que tout le monde s’exprime…)

Donc Philippe était l’Ange qui passe, et puis qui repasse.
Je crois que ça en a épaté plus d’un et plus d’une, sa façon de repasser..
Je lui avais fabriqué une paire d’ailes, avec des boas, (non, pas la bête sans bras ni jambe, qui rampe en tirant la langue toute les deux minutes, et qui vous étreint si fortement qu’il vous “bro-a” les os!).
Des boas en plumes, blanches, pour l’Ange.
Pas bête, non?
Si ce n’est que j’ai calé pour la façon de les attacher.
Séverine-Dracula nous a donné une paire d’ailes en plastique, et Amanda et Sonia ont bidouillé pour que ça tienne.
Et ça a tenu!
C’était un rôle muet, mais quel impact!!!

Les enfants étaient sur scène comme chez eux.
Edouard-Superman, dès qu’il a eu son costume, ne l’a pratiquement plus quitté.
Il est étonnant ce garçon.
Une mémoire d’éléphant. Je pense qu’il a été le premier à connaître son rôle, mais surtout, tous les autres rôles.
C’est un enfant attachant, très gentil, intelligent et nous avons eu d’excellents rapports tous les deux.
Il avait un rôle important, étant dans pas mal de scènes, et il jouait sans aucun problème, avec un plaisir évident.
Nous avions une scène ensemble et ça semblait lui faire très plaisir.
Quand une réplique me manquait, je pouvais la lire sur ses lèvres.
Un sacré partenaire, non?
Corentin-Asterix est un fan de théâtre.
Ça ne m’étonnerait pas qu’il se dirige dans cette voie. Il une aisance et une présence étonnante pour un enfant de cet âge.
Léïla, petite jeune fille, belle à ravir et sage comme une image, toujours souriante, gentille comme tout, une Cléopâtre plus vraie que nature.
Bérénice, ravissante en Hélène de Troie puis en Marie Tudor, une vraie reine, ou plutôt deux vraies reines.
Alec-Shakespeare, enfant sage, doux, qui a donné un Shakespeare calme et rêveur, très attachant.
Et toute la bande de “jeunes”, que nous n’aurions sûrement pas eu l’opportunité de connaître sans ces circonstances, et que nous avons tous appréciés.
En espérant que c’était réciproque.
J’ai plus particulièrement créé des liens avec Guillaume-Papy Mougeot.
Faire se rencontrer des personnes qui, selon toutes vraisemblances, n’avaient aucune chance de le faire, c’était aussi le but de cette pièce.

Et puis, parce que je dois quand même en parler, Philippe-Eugène Boudin et Mijo-Madame Mac Miche.
Jouer ensemble, c’était pas mal, dans le fond. La complicité que nous vivons tous les deux à la ville, mise en scène au théâtre, un beau prolongement.
Boudin peignait sur scène, pendant que Mac Miche essayait de comprendre ce qui se passait, en prenant toujours Boudin à témoin, lequel lui donnait toujours raison en opinant du bonnet.
Ah! si seulement ça se passait comme ça à la maison!!!…

Oui, mon chéri… non non, c’est rien… j’essaie de parler de la pièce.
Oui, oui, tu pourras lire, bien sûr… :)))

Daniel et Frédéric n’ont répété que vers la fin seulement, mais eux ont l’habitude, alors ils avaient besoin de moins de répétitions que nous.
Louis XVI qui perd la tête, Croc-Magnon qui danse avec le corps de ballet, moments forts de la pièce.

Il ne faut surtout pas oublier Pierre et Jacqueline Falière, sans qui nous n’aurions jamais participé au spectacle.
Au départ Daniel et Frédéric avaient pensé leur faire jouer un rôle dans la pièce.
Mais ni Jacqueline, ni Pierre n’étaient partants, et on les comprend.
Beaucoup trop fatiguant.
Alors Daniel est allé faire un reportage chez eux et un extrait a été projetée sur l’écran à la fin de la représentation.
Pierre en était très satisfait.

La représentation a eu lieu le samedi soir.

La veille, répétition générale.
!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Et je pourrais continuer comme ça jusqu’au bout de la ligne!!!!!
La Ca-tas-tro-phe!
Nous nous sommes plantés dans les grandes largeurs.
Impossible de penser que le lendemain nous devions jouer.
Nous étions tous effondrés.
Tout ça pour en arriver là!
Ce salmigondis, cet enfant mort-né, ce monstre sans queue ni tête?
Toutes ces journées de répétition, de mise en place, pour rien, pour ça?…
Philippe et moi sommes rentré à la maison, la tête basse.
Et bien, qu’est-ce qu’on va se ramasser demain?
On va au casse pipe, c’est sûr….
On se disait: “Le bon coté des choses, c’est que, si on nous envoie beaucoup de légumes à la tête, à la fin de la représentation, nous pourrons nous faire un bon potage gratuit, au prix ou sont les légumes, c’est pas négligeable”….

… Et le lendemain nous avons, dans l’après midi, recommencé une autre générale.
Et là, Mi-ra-cle!!!!
Tout ce qui avait foiré la veille, fonctionnait à merveille aujourd’hui, comme les pièces d’un même puzzle, tout s’emboîtait sans problème.
Tout le monde joua son rôle comme il le fallait, personne ne rata son entrée, tout s’enchaîna à la perfection.
Nous avions repris espoir, ça devait aller maintenant.
Le grand jour était arrivé, c’était “Notre jour”, celui pour lequel nous avions tous fait tant d’efforts.

La salle était comble.
Bien sûr, le public était composé, à l’essentiel, de familles ou d’amis, mais pas uniquement.
Bien sûr, le spectacle était gratuit, bien sûr nous bénéficierions de l’indulgence de ce public, acquis d’avance.
Mais malgré tous ces “handicaps positifs”, le succès que nous avons eu, nous l’avions bien mérité.
Dans les coulisses nous attendions que le Brigadier frappe les trois coups.
Nous étions tous concentrés, attentifs, prêts pour la partie qui s’annonçait.
Personnellement je n’ai rien vu du spectacle.
Mais j’ai entendu.
Le premier éclat de rire de la salle!!!!
Quand papy Mougeot fait son apparition sur scène et dit ses premières répliques.
J’ai compris à ce moment là que la partie était gagnée.
Pourquoi cette certitude? je ne sais pas, je le savais c’est tout.
Avec Dracula, nous nous sommes regardées et nous avons dit: “Ils rient, c’est gagné!”.
J’ai passé toute la représentation à suivre le déroulement sur ma “conduite”.
Je ne l’ai laissée que les trois fois où je suis entrée en scène.
Pas moyen de lâcher ce document, comme si je m’accrochais à lui, une sorte de talisman: si je ne le quittais pas, si je suivais bien les scènes, tout devait bien se passer.
Et ça c’est admirablement bien passé.
Ouf! Mission remplie, Capitaines !

Que dire de mes impressions, une fois sur scène?
Curieux, oui, curieux, mais exaltant!
Autant, dans les coulisses, j’étais paralysée par le trac: pourrais-je dire mon texte correctement, ne vais-je pas tout mélanger… et, surtout… ne vais-je pas avoir ce trou de mémoire qui m’effrayais tant… l’oubli total du texte?
Autant une fois sur scène, je m’y suis sentie totalement en confiance.
Je me suis contentée de faire ce que j’avais répété, plus ou moins à l’identique, avec quelques variantes, mais je n’avais plus peur, comme si ce grand trou noir , la salle, dans laquelle, au premier rang, lorsque je m’en approchais, je distinguais quelques visages flous, était devenue un partenaire avec qui je jouais.
Une fois ma scène terminée, j’étais apaisée.
Voilà, j’y suis arrivée.

( Aparté:
Papa, où que tu sois sur ton petit nuage, ta fille ne t’as pas trop déçue?
Je t’embrasse.)

Le public a rit, sans complexe et sans indulgence, il s’est bien amusé, autant que nous sur scène, et c’est là toute la magie du théâtre, quand les spectateurs et les comédiens se font mutuellement plaisir.
Je crois que je n’oublierai pas la joie de Corentin quand nous avons salué.
Il levait les bras en signe de victoire, fou de joie, heu-reux!
Voilà le mot juste, nous étions tous heureux.

Ce qui nous a beaucoup étonnés, à la fin de la représentation, c’est que le public est monté sur scène pour saluer les comédiens qu’il connaissaient.
Depuis que nous allons au théâtre de l’Éclat, et Dieu sait si nous y allons souvent, nous n’avions jamais vu ça!
D’abord surpris, nous avons trouvé ça très chaleureux, très chouette.

Quand tous les spectateurs, à qui Monsieur Sénécal offrait généreusement un apéritif après le spectacle, furent partis, nous sommes restés, tous les comédiens, certains avec leurs parents, enfants ou amis, et nous avons dégusté un délicieux buffet froid.
Ce qui nous permis de prolonger un peu l’ambiance du théâtre, avant de repartir chacun chez soi.
Tristement, bien sûr.
Finies les séances de répétition, d’habillage, de découvertes de l’autre, des autres, la vie allait reprendre son cours, chacun avec son histoire, dans la ville, redevenue… “normale”.

Merci à Boujemaa, d’avoir initiée cette belle aventure, avec Daniel, Frédéric, Moussa, Karine et tous les autres…..
Le bateau, non seulement n’a pas coulé, mais après avoir traversé quelques tempêtes, petits coups de vents, et clapotis frisottants, il a fièrement terminé son voyage en rentrant au port, sous les bravos du public de l’Éclat.

Nous aurons le plaisir de nous retrouver dans quelque temps, à la Villa, pour regarder la vidéo, faite par Karine je crois, ainsi que le montage.
Ce qui nous permettra, enfin, de voir cette pièce, parce que, entre nous… mais entre nous seulement, c’est terriblement frustrant d’entendre rire une salle, alors que nous devons rester cachés dans les coulisses.
Ah! oui, très frustrant.

Dans quelque temps, je vous raconterai une autre belle aventure, aussi vraie que celle-ci.
Mais un peu de patience, je dois aller me reposer.

Rideau !

Retrouvez les photos du spectacle dans “Représentation: 1”
Au revoir, à bientôt.

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5 réflexions sur « Auteur-metteur en scène: Daniel Mayar Directeur d’acteurs: Frédéric Maillard »

  1. Il me tardait de vous, non pardon, de te lire Mijo. Tant de vérités, de ressenti, de vécu. Sachez tous que c’est une fierté pour nous de vous voir sur scène après tant de travail, d’investissement personnel. La magie du spectacle c’est formidable et incompréhensible (c’est pour ça ke l’on dit ke c’est magique). J’aurais souhaité partager plus de temps avec la troupe, mais le temps me manquait. De la vidéo au maquillage, en passant par les répétitions, ma rencontre avec les “Falière” et mes petites mises au point (hautes en décibels) avec les enfants, tous ces petits rien qui forment un tout, me rappelle que je ne suis pas dans l’animation par hasard, mais bien par vocation, pour tous ces petits riens qui amènent à de grandes choses.
    Encore bravo à tous, merci Mijo pour ce blog qui retrace si justement ce “coup de théâtre”.

    Karine aux multiples fonctions

  2. Que d’émotion de lire, et j’avoue, de relire tes commentaires.
    Mijo, tu as décrit notre aventure commune avec tellement, et même un peu de, et surtout… ENFIN tu me comprendras!
    Que du bonheur! Des rencontres qui relèvent de la magie. Je me suis éclatée, amusée, et j’ai un peu travaillé, mais juste un peu, enfin pas du tout… sauf les abdos.
    Alors Philippe, suis-je toujours ton fournisseur de Boudins?
    Quand à toi, Mijo, je te kiffe grave.
    A toute l’équipe de cette aventure… c’est quand la prochaine????

    SÉVERINE/DRACULA

  3. Je viens de rerelire: je ne m’en lasse pas. J’ai Maury au tél et nous en discutons encore. Je crois que je vais me replonger dans la lecture.

    SÉVERINE/DRACULA

  4. Ho la la… c’est magnifique! bravo madame… merci… merci pour ces éloges flateuses et gentilles… jean philbert et maury nous VOUS remercions “VOUS = maman+papa+fils”… surtout aucun regrets malgrès la grosse trouille du vendredi! Ho la la!… mais aussi merci pour votre soutien moral madame mac miche je n’oublierai pas! messages et attention “tu sais de quoi je parle” ensuite… je tire mon chapeau fleurie pour la mise en scène “que j’ai compris très tard… ho la la”… et pour les uns et les autres, riches de talents, d’émotions, d’avoir participé… ho la la!… quand reviendrons nous faire la fête aux crustacés sur l’Eclat ensoleillé? à bientôt… BISOUS

    Maury et Jean Philbert

  5. Je suis au téléphone avec Séverine de la “dent-d’oche 74” grace a son talent” j’ai pus envoyer ce commentaire. Les photos sont magnifiques!… bravo Mijo pour tes talents multiples…… sur ton blog… bravo….

    maury et jean philbert

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